État pivot : enjeux et occasions de placement pour 2025 et au-delà 

Après une période de perturbations à court terme, les marchés se sont suffisamment stabilisés pour permettre aux investisseurs de rediriger leur attention sur le long terme.

Nous continuons à observer des perturbations sur les marchés mondiaux, dans les économies et la société, qui transforment le monde dans lequel nous vivons. Plus précisément, nous constatons une normalisation de la politique monétaire, une escalade des risques de conflit, une transition désorganisée vers des technologies et des processus industriels plus propres, et une démocratisation rapide de l’intelligence artificielle (IA) générative. (Notez que ce document est encore rédigé par des humains!)

Dans notre dernier document annuel Enjeux et occasions, Le passé conjugué au présent, nous avons déterminé que certains éléments de la situation actuelle étaient comparables à ceux des années 1970, une période aussi marquée par la volatilité de l’inflation, les conflits et les questions de durabilité. Nous en avons extrait les leçons sur lesquelles pourraient s’appuyer les investisseurs pour prendre de meilleures décisions et s’orienter pour atteindre leurs objectifs à long terme.

Les douze derniers mois ont exposé davantage les vulnérabilités de l’économie mondiale et ont accentué d’autres enjeux (par exemple, l’environnement naturel et l’intelligence artificielle). Les investisseurs s’ouvrent rapidement aux occasions qu’apportent la hausse des taux d’intérêt et les risques liés à l’environnement naturel, ainsi qu’à d’autres enjeux émergents. Les occasions peuvent s’envoler rapidement en ces temps d’effervescence et de diffusion rapide. Les investisseurs devront donc faire preuve de souplesse dans leurs approches pour en tirer parti. Nous sommes aujourd’hui à une époque où l’agilité doit être le fondement même des décisions de placement.

Dans un tel environnement, il est primordial de comprendre les tendances clés qui animeront les marchés. Nous croyons que la meilleure façon d’y parvenir est de baliser le marché par des cadres d’orientation des décisions des investisseurs. D’ailleurs, ce document définit ces cadres; par ces paradigmes, les investisseurs devraient évaluer les occasions et les pièges pour 2024 et au-delà.  

Changement de régime

Les hauts et les bas des indices de référence

Récemment, les rendements sur le marché boursier et la capitalisation boursière se limitent de plus en plus à une poignée de titres d’importance qui ont démesurément influé sur les mouvements des marchés. Les fortes variations de l’évaluation d’un seul titre peuvent entraîner des pertes importantes dans le portefeuille, comme en témoignent les turbulences boursières observées en septembre 2024.  

Nous sommes d’avis qu’il faut maintenir la diversification des portefeuilles en assurant une répartition stratégique des placements dans des actions de marchés développés hors États-Unis, des titres de valeur et des marchés émergents qui ont réalisé des rendements inférieurs ces dernières années. 

Dans un monde multipolaire,  les indices boursiers des marchés émergents génèrent des revenus plus élevés, tirés d’économies de marché à forte croissance, ce qui justifie donc le maintien d’une pondération stratégique qui avoisine la capitalisation boursière. Les investisseurs doivent être conscients de l’érosion du rendement provoquée par une « vente au rabais ». 

Dans une phase de déconcentration du marché, la gestion active est préconisée, ce qui favorise une répartition axée sur les stratégies de recherche d’alpha, surtout du côté des fonds de couverture diversifiés. 

État des taux            

La réverbération de la hausse des taux d’intérêt peut mettre du temps à se rendre à l’économie réelle; nous commençons à peine à ressentir pleinement l’incidence des récentes augmentations. Même si les taux devraient baisser à court terme, il est peu probable qu’ils reviennent aux creux historiques de la décennie qui ont suivi  la crise financière mondiale.

Dans un environnement de taux d’intérêt plus élevés, les investisseurs peuvent employer des stratégies souples qui exploitent les occasions potentielles offertes  par l’ensemble du spectre des risques; par exemple, en investissant dans des titres d’État de haute qualité, tout en allouant stratégiquement une partie des fonds à la dette privée à rendement élevé. En priorisant ces deux extrémités du spectre de notation, les investisseurs peuvent potentiellement améliorer les rendements et gérer les risques plus efficacement, tout en évitant les actifs à risque moyen, moins favorables, qui peuvent ne pas offrir une compensation adéquate.

Malgré l’attrait accru des actifs à revenu fixe de base, la dette privée reste une catégorie d’actifs intéressante, même si nous croyons que les investisseurs devraient se méfier des secteurs saturés où les valorisations peuvent être excessives. Ils devraient plutôt favoriser les secteurs aux avantages structurels inhérents  potentiels, dont les titres adossés à des actifs et les stratégies structurées, où nous continuons à voir de belles occasions.

Marchés privés décloisonnés

Ces dernières années, les marchés privés ont pris de l’ampleur et sont devenus un pilier de la constitution des portefeuilles. Les programmes sur marché privé qui adoptent une approche globale (décloisonnée) peuvent mieux saisir l’ensemble des occasions disponibles. Les frontières entre les catégories d’actifs sont de plus en plus floues, surtout dans les secteurs comme les centres de données et la transition énergétique, ainsi que la gestion des déchets, le traitement des eaux usées et les services. 

Le contexte difficile des sorties sur les marchés privés (surtout du capital-investissement) a favorisé l’émergence de structures de fonds innovantes, alors même que les véhicules existants qui fournissent des liquidités aux commanditaires ont gagné en popularité. L’essor des fonds semiliquides, des fonds secondaires et des véhicules de continuation reflète la demande des investisseurs pour des solutions de liquidité.

En effet, le volume mondial d’opérations sur fonds secondaires a considérablement augmenté à mesure que le marché se développe, et ce, avec une croissance annuelle de plus de 10 % au cours de la dernière décennie. Les fonds secondaires peuvent offrir  des avantages uniques, tels qu’un déploiement accéléré du capital, évitant potentiellement les effets de la courbe en J et ouvrant la voie aux solutions de placement sur mesure dont le but est d’accroître la diversification du portefeuille.

Pour les investisseurs avertis, le coinvestissement dans des actifs du marché privé primaire avec des commandités de qualité constitue une occasion. Ces placements comportent plus de risques, mais offrent d’importants avantages : des commanditaires d’expérience avec de bons réseaux de commandités qui peuvent tirer parti de la sélectivité et des conditions favorables, des frais moins élevés, d’un déploiement accéléré du capital pour atténuer les effets de la courbe en J, ainsi que des occasions engendrées par les bouleversements actuels du marché.

L’immobilier a récemment traversé une période trouble, mais approche de la fin de sa dernière correction, ce qui donne des prix d’entrée historiquement intéressants pour la plupart des actifs. Compte tenu des caractéristiques hétérogènes et de l’information imparfaite de cette catégorie d’actifs – les différentes régions offrent des occasions très différentes les unes des autres – l’immobilier mondial offre de nombreuses occasions intéressantes avec de solides perspectives de rendement absolu. La répartition sectorielle et la sélection de titres sont les facteurs les plus importants de la surperformance. Pour les investisseurs ayant une plus grande propension au risque, il est possible d’obtenir des rendements plus élevés à partir des bouleversements du marché. 

Supercycles

La sécurité globale

Les tensions géopolitiques peuvent avoir des conséquences profondes et tentaculaires sur l’économie mondiale et les marchés financiers. Les récents événements ont braqué les projecteurs sur tous les aspects de la sécurité : l’énergie, les ressources, la fragilité de la chaîne logistique, les chocs inflationnistes du côté de l’offre, le cyberrisque et le potentiel d’instrumentalisation de la dette.

Les impacts systémiques des chocs énergétiques et des perturbations de la chaîne logistique engendrés par la pandémie, puis exacerbés par l’invasion de l’Ukraine par la Russie – qui a poussé des pays à réévaluer leur approvisionnement en produits de base – illustrent l’effet amplificateur que les tensions géopolitiques peuvent avoir sur des risques déjà complexes. En même temps, l’expansion rapide des programmes d’énergie renouvelable augmente la proportion d’énergie « locale » pour la plupart des pays, renforçant ainsi la sécurité énergétique, à condition que la production d’énergie soit assortie d’une capacité de stockage et d’un développement du réseau.

Dans un autre ordre d’idées, la concurrence entre les États-Unis et la Chine entraîne des tensions commerciales, notamment en ce qui concerne les technologies à usage mixte. Bien que nous ne croyions pas qu’il y ait une démondialisation, nous estimons qu’il y a certainement un fractionnement en blocs.  Dans un monde de plus en plus multipolaire, les stratégies de marchés émergents offrent une diversification grâce à des placements plus directs aux revenus des pays émergents.  La gestion active est privilégiée pour tirer parti des possibilités d’alpha et pour des raisons d’atténuation du risque. Le dynamisme est nécessaire pour répondre rapidement au développement du risque souverain, étant donné que le risque pays est un facteur beaucoup plus important dans les marchés émergents que dans les marchés développés.

Dans un monde de plus en plus fragmenté, les fluctuations des devises peuvent avoir une incidence importante sur le rendement des placements. Le fait que cela soit bénéfique ou préjudiciable aux rendements corrigés du risque dépend des conditions du marché, de la situation de l’investisseur et, surtout, de son lieu de résidence. Les investisseurs disposant d’un portefeuille diversifié mondialement comprennent que la décision de ne pas couvrir le risque de change n’est pas une décision passive.

Équilibrer l’économie

Si Wall Street peut se réjouir de la décélération de l’inflation, ce n’est pas le cas de monsieur et madame Tout-le-Monde qui doit composer avec la hausse permanente du coût de la vie. La croissance économique globale reste robuste. Cependant, elle s’accompagne de problèmes de répartition, créant un décalage entre les indicateurs économiques et les réalités du quotidien. Cette disparité alimente la méfiance du public à l’égard des institutions. Dans les économies développées, une caractéristique essentielle du contrat social a disparu, à savoir que chaque génération est susceptible de gagner plus que ses parents  L’accumulation de richesses constitue aussi un défi. En effet, un transfert de patrimoine sans précédent de la part de la génération du baby-boom devrait renforcer les inégalités chez la génération qui la suit.

L’écart entre la croissance économique et le mieux-être social offre une occasion unique de réaliser des placements ciblés. Les placements stratégiques axés sur le progrès social (tels que les logements abordables, les infrastructures de soins de santé, la transition alimentaire et les solutions au problème du coût de la vie) offrent la possibilité de changer les choses et d’obtenir des rendements intéressants.

Le cycle de la dette publique des pays développés – surtout aux États-Unis – a favorisé les déséquilibres et les tensions, et l’on craint que le fardeau annuel de la dette, désormais à peu près équivalent aux dépenses de la Défense, ne freine la croissance de l’économie américaine. L’endettement pourrait encore augmenter sous une administration populiste.

Alors que le niveau de la dette publique américaine atteint de nouveaux sommets, il convient d’examiner la position des acheteurs naturels de cette même dette. Le Japon reste un acheteur naturel en raison de la hausse importante des rendements des émissions nationales et des craintes d’un affaiblissement du yen. Il convient de noter que si les valeurs du Trésor de la Chine ont reculé, ses achats de créances hypothécaires d’agences ont augmenté, ce qui indique que les marchés publics actifs des États-Unis restent un refuge naturel pour les vastes réserves de change de la Chine.

Mégatendances

La transition progresse à un rythme soutenu. Entre 2018 et 2023, la capacité solaire photovoltaïque mondiale a triplé. En 2025, les énergies renouvelables – solaire photovoltaïque, éolienne et hydroélectrique – devraient pour la première fois produire plus d’électricité que le charbon. Ce seuil a déjà été franchi dans l’Union européenne (UE). Les placements dans les technologies d’énergie propre, dominées par l’énergie solaire, dépassent désormais de loin ceux dans les projets liés aux énergies fossiles, puisque les moteurs de croissance sont passés des besoins clairs et actuels de la transition climatique à l’attrait économique d’un coût de l’énergie moins élevé et d’une plus grande sécurité énergétique. 

L’investissement doit encore s’accélérer. Il existe de nombreuses occasions pour les investisseurs dans les infrastructures et les technologies de nouvelle génération. Les réseaux doivent être mis à niveau et mieux connectés pour accueillir le déploiement des nouvelles énergies renouvelables, tout en étant soutenus par un stockage d’énergie suffisant. Les secteurs de croissance future seront ceux de la transition des secteurs difficiles à éliminer, tels que les carburants durables et l’hydrogène, ainsi que le captage, le stockage et l’utilisation du carbone et, surtout, les solutions d’adaptation.

Un portefeuille de placement actif d’avenir, axé sur la transition, devrait se concentrer sur trois segments clés :

  • Décarbonation du portefeuille – Les investisseurs devraient procéder à l’analyse des attributions des émissions et intégrer les émissions de GES de portée 3 dans les stratégies climatiques.

  • Harmonisation avec la transition climatique – Les investisseurs devraient mener une analyse ascendante de leur portefeuille afin d’évaluer l’empreinte carbone de leurs placements et leur contribution à la transition.

  • Placement dans les solutions climatiques – Comme indiqué ci-dessus, les investisseurs devraient également réserver une part de leur portefeuille aux solutions climatiques, avec des objectifs d’impact bien définis.

En tenant compte de la circularité, les entreprises peuvent réaliser des économies substantielles, réduire leur impact environnemental, s’orienter vers une résilience et une réussite à long terme dans un monde où les ressources sont de plus en plus limitées, et renforcer leur chaîne logistique.

Dans l’ensemble, on estime que l’économie circulaire est un secteur de possibilités qui représente entre 883 G USD et 1,5 T USD, soit entre 4 et 7 % du PIB des États-Unis, tout en réduisant les émissions de CO2 entre 370 et 852 millions de tonnes.

D’ailleurs, les gouvernements envisagent de plus en plus la mise en place d’une réglementation qui favorise l’économie circulaire, telle que le droit à la réparation. L’UE est en tête de peloton grâce à plusieurs directives, dont sa réglementation phare Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) qui impose une déclaration d’économie circulaire à de nombreuses entreprises.  Nous croyons que les investisseurs devraient s’y préparer; ceux à l’extérieur de l’UE devraient s’appuyer sur la réglementation européenne comme un indicateur de ce qui s’en vient 

De nombreux investisseurs concilient aujourd’hui des exigences multiples en intégrant dans leurs portefeuilles des considérations climatiques et de biodiversité. À long terme, nous nous attendons à ce que les politiques gouvernementales et les attentes sociales cheminent, incitant donc les investisseurs et les entreprises à réfléchir à l’entretien et à l’amélioration des milieux naturels, notamment par la biodiversité et la lutte à la pénurie d’eau et à la destruction des habitats. 

Selon nous, le point de départ de l’atteinte d’un équilibre est la revue des croyances et des politiques de durabilité, puisque la nature et la biodiversité sont intimement liées aux changements climatiques.  Des pratiques respectueuses de la nature préviennent les dommages environnementaux involontaires et bonifient les rendements à long terme. D’ailleurs, des solutions axées sur la nature, comme le reboisement et la protection des milieux humides, offrent des incitatifs au piégeage du carbone, contribuant ainsi à la réalisation d’objectifs de carboneutralité tout en créant des occasions de placement.

Pour répondre à ces demandes complexes, la gérance des placements est cruciale. Les investisseurs mobilisés doivent s’assurer que leurs gestionnaires d’actifs interpellent les entreprises sur les enjeux liés à la nature, comme les risques de biodiversité et l’incidence des changements climatiques. Des cadres tels que le groupe de travail sur les informations financières liées à la nature donnent des conseils aux investisseurs sur la manière de responsabiliser les entreprises, surtout celles des secteurs essentiels à la durabilité environnementale. 

Les investisseurs devraient étudier le dossier de placement de fonds axés sur l’agriculture et la foresterie durables, ainsi que sur la conservation des océans. Ces fonds visent l’amélioration du capital naturel – terme économique désignant les services et les ressources offerts gratuitement par la nature, comme la pollinisation. À l’échelle mondiale, les activités agricoles se concentrent sur trois monocultures (le blé, le riz et le maïs), un type de culture d’espèces végétales, génétiquement similaires ou identiques, qui sont plantées année après année.  

Cependant, pour répondre à ces enjeux, l’agriculture régénératrice, l’agriculture verticale, l’entreposage frigorifique, la fermentation de précision et la recherche et le développement (R&D) en biotechnologie sont d’autant d’occasions de placement à long terme.

L’IA a connu une année faste en 2023, grâce à son adoption rapide par les particuliers, les gouvernements et les entreprises. Tel qu’il est mentionné dans la section « Les hauts et les bas des indices de référence » ci-dessus, cette croissance a contribué à la concentration exceptionnelle des marchés boursiers, qui a été comparée à la bulle internet du début du siècle.  Toutefois, cette focalisation sur les géants de la technologie à forte capitalisation détourne l’attention du développement rapide d’entreprises technologiques émergentes et d’autres segments de marché qui utilisent l’IA. 

L’ensemble des applications de l’IA reste encore à être apprécié dans tous les secteurs de l’économie. Les applications actuelles ne représentent qu’une fraction de ce qui est possible, et les développements futurs dans des domaines, tels que l’apprentissage automatique, le traitement du langage naturel et la prise de décision autonome, élargiront considérablement la portée de l’IA sur les secteurs. 

L’IA représente une occasion de placement convaincante dans de nombreux secteurs. Du côté des soins de santé et des sciences de la vie, les applications de l’IA sont sur le point de révolutionner la découverte de médicaments, le séquençage de l’ADN et la réécriture génomique, par l’accélération de l’innovation et l’amélioration de la prise en charge des patients. Les entreprises de ces secteurs qui exploitent l’IA pourraient générer des rendements prometteurs. Le rôle de l’IA dans le développement durable est également important. Par des gains d’efficacité et les défis relevés du développement durable, les entreprises aux solutions d’IA en efficacité énergétique, énergies renouvelables et pratiques durables peuvent offrir des perspectives de placement intéressantes.  Ces entreprises devraient être bien positionnées pour croître à mesure que l’attention portée au développement durable s’intensifie dans le monde entier. Si l’IA est un outil précieux de résolution des enjeux de durabilité, il convient aussi de noter la hausse des émissions engendrée par ses besoins énergétiques.

Les investisseurs qui s’intéressent aux prochains gagnants de cette révolution technologique doivent envisager l’adoption de l’IA selon quatre catégories distinctes :

  • Fournisseurs – Entreprises qui créent des modèles d’IA ou le matériel nécessaire.
  • Facilitateurs – Les fournisseurs d’infrastructures vitales, telles que les services publics.
  • Déployeurs – Entreprises qui déploient efficacement l’IA pour accroître la productivité.
  • Perturbateurs – Nouveaux venus qui utilisent l’IA pour perturber les processus.

Notre récente enquête, L’IA dans la gestion des investissements, a révélé que neuf gestionnaires de placements sur dix ont déclaré utiliser ou prévoient utiliser l’IA dans leurs processus de placement. La  question n’est plus de savoir si ou quand, mais comment les gestionnaires mettent en œuvre les capacités d’IA. En effet, de nombreux pionniers de l’IA sont issus du secteur des placements et utilisent des techniques d’IA depuis les années 1990.

État pivot

Apprenez-en plus sur les approches qui, selon nous, orienteront les investisseurs vers la réussite pour 2025 et au-delà. 

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